Idées pour améliorer la relation avec son cheval

Parfois, nous cherchons des exercices à faire faire au cheval, qui vont nous permettre de renforcer notre complicité avec lui.

Je vous partage aujourd’hui ce que j’aime faire et qui m’aide avec mes juments.
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1) Ne rien faire
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À force de vouloir « faire faire faire », on peut créer beaucoup de pression ou frustration.
Simplement être là, dans le présent avec notre cheval, et ressentir du bien-être à ses côtés va nous permettre d’être apprécié pour notre calme et notre qualité d’écoute.
On peut observer de quoi le cheval a envie, comment il se déplace, qu’est ce qu’il ressent, et le prendre en compte en tant qu’individu à part entière, et ami.
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2) Le gratter
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N’étant pas en mesure de se gratter aussi facilement que nous avec nos mains, bien souvent les chevaux apprécisent beaucoup d’être grattés à leurs endroits favoris.
Connaissez-vous ces zones, chez votre cheval ? C’est quelque chose que mes juments et moi on aime beaucoup, ces temps de câlins / gratouilles !
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3) S’en occuper
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Passer du temps à s’en occuper, sans leur demander de « travailler », sans avoir d’attentes. Les brosser, les emmener marcher comme si vous promeniez votre chien, leur faire des bisous, leur ramener de bonnes choses à manger, etc…
Passer du bon temps ensemble, comme entre amis 
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4) Laisser des temps de pauses

Durant le travail (à pied ou monté), je fais attention à laisser beaucoup de temps de pauses à mes chevaux, afin de leur permettre de réfléchir, d’intégrer les apprentissages, de se détendre, et de se sentir en sécurité avec moi.
Au maximum, j’essaye de prendre ce qui se passe instant après instant, plutôt que de me focaliser sur le résultat à atteindre.
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5) Instaurer des limites
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Eh oui, c’est aussi très important lorsqu’on veut renforcer la complicité avec notre cheval. Poser des limites, se demander ce que l’on souhaite autoriser ou non comme comportements, cadrer le cheval, c’est quelque chose qui va apporter un certain apaisement au cheval. Cela va l’aider à se sentir en sécurité avec nous, car on prend les décisions et on le « ramène au moment présent » quand il dépasse les limites (par stress bien souvent !).
Ces limites devront être claires, cohérentes, et instaurées de manière douces mais avec une dose de fermeté qui indique au cheval qu’on st sûr de soi.

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